Ruelles sombres

Lorsqu'ils arrivèrent aux bas quartiers, Amayelle mena l'homme jusqu'à la ruelle ou était resté Altarion avec Joshua.

"Voila. Il devrait être ici. si vous le voyez, s'il vous plait aidez le..."

Amayelle se dirigeait vers l'endroit ou elle ressentait le plus la présence de son chien.

"Hummm... il est en mauvais etat, mais si il est solide il devrait s'en sortir apres une journée ou deux de repos. Mais d'abord il faut arreter les emoragies."



L'homme retira sa chemise et en arracha un morceau et le mis sur la hanche d'altarion. Il appuya fort sur sa hanche droite , ce qui fit hurler de douleur altarion. Ensuite les mains de l'homme furent entourée d'un halo cerdatre signe de l'utilisation de magie bienfaitrice de guerrison. Guerrison faible malheureusement...

L'homme essouflé s'assit et regarda altarion alongé sur le coté

"J'ai essayé de stopper l'emoragie, je n'y suis pas entierement arrivé mais si il s'allonge et que l'on maintient une certaine pression sur sa hanche on devrait pouvoir le sauver. L'autre hanche est atteinte aussi mais il à plus de chance de ce coté que de l'autre. heureusement pour lui d'ailleurs."

Amayelle, qui s'était mise a quatres pattes par terre, cherchait le corps d'Altarion a tâton. Elle le trouva finalement et elle s'assit sur ses genoux a coté de lui.

"Pourais-je faire quelques chose pour aider monsieur?"Demanda-t-elle a l'homme.

Elle détestait se sentir inutile, surtout lorsque quelqu'un était en danger. Elle voulait a tout prit faire quelque chose, même si c'était minime, puisqu'elle ne pouvait pas faire des choses trop compliqués a cause de son handicap.

Le medecin se releva apres avoir récuperé un peu.

"Si vous voulez je peux vous ramener à l'auberge.C'est pas tout les jours que je sauve la vie d'un homme qui à tué trois loup-garous vous savez."

"Mais vant d'aller a l'auberge, est-ce que vous pouriez jetter un coup d'oeil a mon chien s'il vous plait? En essayant de me défendre il a été affreusement blessé..."

Amayelle avait la tete baissé. Elle était tellement triste que Joshua soit blessé a cause d'elle. Il était la seule famille qui lui restait et elle ne voulait pas qu'il lui arrive de mal. elle espérait que l,homme pourait faire quelque chose pour lui.

L'homme se mit à trembler rien qu'en pensant au chien.Apparemment il n'etait pas vraiment l'amis des animaux. Des chiens en tout cas.


"Pas question que je touche un chien... Je suis alergique et j'ai la phobie des chien! Je suis vraiment désolé mais je ne peux absolument rien faire pour lui."

Voila qui compliquait les choses pour Amayelle

La chance d'Amayelle avait-elle décider de l'abandonné? Il fallait a tout prit qu'elle trouve quelqu'un pour aider joshua.

"... Alors... Je vais vous accompagner a l'auberge pour trouver quelqu'un qui pourra aider mon chien."

Elle espérait qu'il y aurait encore quelqu'un qui voudrais l'aider a l'auberge. Elle avait confiance. Elle était sure qu'elle trouverait quelqu'un. Sa chance referais surface a coup sur!

hj: bon moi j'attends toujours que l'on me transporte a l'auberge

hj: je vais attendre combien de temps encore?

Mais bordel si on previent pas comment vous voulez que je le sache surtout que là on s'est arreter avec la phobie de Webby pour les chiens et la venue de Xahhan qui parle a on sait pas qui vut qu'il precise pas de nom et que nous sommes 2 a nous être battut

hrp: et que en plus t'es mourrant...

Le médecin pris altarion sur ses épaules et le conduit à l'auberge, acompagné d'Amayelle qui , devait laisser son chien sur place.

hj: Voila la je sait que je suis a l'auberge maintenant

Repeuplement : Epuration

Musique d'ambiance (faute de mieux... )

Aldo Morricone était un truand, un peu "bandit de grand chemin" des jours anciens. Nostalgique des belles années du crime, Aldo aimait à tirer dans les foules, crier "C'est un Hold-Up" dans les petites banques du Sud où la culture se fait encore à la main, piller les stocks d'alcool des merceries, faisant fi d'oublier que la prohibition était bel et bien morte et enterrée.
Aldo se promenait dans une vieille 2CV blindée, ne dépassant jamais les 60 miles à l'heure, écrasant parfois un gamin imprudent ou une vieille femme trop lente pour se sortir de la trajectoire de son tacot. Il portait un chapeau mou gris, un costume gris, un bouc et une moustache gris, tel un pigeon passé dans une soute à charbon. Tel un macchabé près à être mis en bierre.

Aldo Morricone repose maintenant en paix. Il est allongé contre un mur crasseux d'une rue crasseuse de cette ville crasseuse qu'il avait choisi comme refuge, ville trop tranquille pour le "grand truand" qu'il était.
Il est allongé, face contre terre, le visage figé en une expression de terreur vive, le coeur réduit en bouillie par un projectile d'une puissance infernale, le chapeau imbibé de sang.
Il est allongé, une pince de crabe imprimmée dans la nuque au fer rouge. Non... la pince du Homard.

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Kyuuja, débarqua dans une de ces ruelles sombres qui infestaient les bas quartiers. La plus part des vieux lampadaires n'éclairaient plus ce réseau de dépravation depuis des lustres. Ce quartier mal fréquenter était sûrement le pire endroit où un homme pouvait se reposer, mais Kyuuja n'avait pas le choix. Il devait a tout prix retrouver la force magique nécessaire a sa barrière spirituelle, sinon le moindre affrontement serait d'un grand danger.
Il s'adossa contre un mur, tenta de sa camoufler dans l'obscurité, sous une cage d'escalier de secours. A quelques dizaines de mètres, un cadavre assez ancien gisait au sol. Un homme, au costume gris et au chapeau taché de son propre sang coagulé qui recouvrait également le sol, le mur un une poubelle a proximité. Impossible de savoir quelle genre de créatures avait commis cet acte ignoble, mais il était préférable de ne pas la croiser...
Kyuuja attendait depuis quelques secondes, et comptait bien rester une minutes ou deux, en espérant qu'aucune créature n'interviendrait, et surtout pas cet Harborym...

Kyuuja venait de terminer de recuperer, et marchant dans les ruelles, il arriva a un carrefour. Soudain, le son d'un cor ancien retentit au loin. Signal de detresse utilisé des chevaliers des temps revolus. Kyuuja debouchait lui même d'un plan medieval, et compris qu'une personne etait en danger. Il se dirigea aussi directement que possible vers la source de cette sonorité.
Au bout d'une longue marche, les immeubles semblaient plus fragiles, fissurés... Et bientot Kyuuja arriva dans les Ruines.

Après avoir quitté Naggaroth, Extasy s'était dirigée au hasard, dans l'intention de rejoindre une autre ville. Un kilomètre plus loin, la jeune fille avait manqué de goûter à la terre que ses pieds foulaient. Ayant observé, d'un regard de colère, l'objet qu'elle pensait être une pierre sur laquelle elle venait de trébucher, elle avait constaté qu'il ne s'agissait pas d'un simple caillou mais d'une oeuvre humaine (du moins, elle le supposait).
Le regard soudainement intéressé, elle avait délicatement déterré l'objet qu'elle prit immédiatement pour un objet précieux, de grande valeur. En effet, la pierre était magnifiquement sculptée et détaillée de fins motifs et écritures incompréhensibles pour Extasy mais habilement réussis. Et c'est tout ce qui lui importait: la beauté de l'objet. Ainsi que son âge. La jolie petite tablette semblait être ancienne.
Certaine d'avoir déniché un trésor, Extasy avait scruté longuement les alentours... Seule la ville de Naggaroth s'était démarquée du paysage.
Extasy n'avait pas mis longtemps à imaginer un véritable scénario de film. L'objet qu'elle tenait dans ses mains provenait de Naggaroth... qui devait sûrement renfermer d'autres objets du même genre.
Convaincue d'avoir découvert une mine de richesse, elle était revenue sur ses pas, jusqu'à se retrouver ici, dans les ruelles sombres.



Extasy marchait tranquillement, un brin excitée par sa découverte, qu'elle avait glissée dans l'un de ses gants. La tablette n'était pas très encombrante puisqu'elle était de petite taille, ce qui ne semblait pas ôter l'importance que la jeune fille lui portait.

**Je vais être riche**

Extasy, imaginant déjà sa gloire future, faillit mourir de terreur en entendant le cri bestial d'Haborym, qui déchira le silence paisible et ses rêveries et qui, seul point positif, lui permit d'esquiver l'attaque du monstre. Esquive accompagnée d'un hurlement strident.
Elle tomba au sol, complètement paralysée par la peur. Jamais, du bas de ses 17 ans, elle n'aurait imaginé se retrouver face à une créature de cet ordre. Elle se sentit minuscule, totalement faible, carrément finie, déjà morte. Elle ne pensa même pas à saisir le manche de son épée tant Haborym en imposait.
Puis, lentement, elle se laissa partir, à la limite de l'évanouissement, observant la petite tablette, qui avait dû tomber durant sa chute, qui gisait à côté d'elle. L'objet de ses désirs, l'objet qui symbolisait ses défauts (son impulsivité, son manque de réflexion, sa naîveté, sa faiblesse aussi) et enfin, l'objet avec qui et pour lequel elle allait périr. Celui qui l'avait fait rêver et qui allait la faire mourir.

D'un coté, ces gens sont mieux ou ils sont maintenant... selon certaines rumeurs, les ruelles de naggaroth sont plus horribles que la mort elle même! Mais d'être horrible, qu'est-ce qu'ils en savent ces humains? Ces êtres si fragiles... quoi qu'ils fassent, ils vivent dans la pire crasse au monde sans ouvrir les yeux une seule journée, une seule heure... même pas une seule seconde de leur vie. Ils se disent qu'ils connaissent la souffrance, la douleur... mais ils ne connaissent rien! Ces ingrats ne méritaient que ce qu'ils ont obtenus maintenant.

L'arme attachée au poignet gauche ensanglantée, il regardait sa dernière victime mourir devant ses yeux avec extase. Il n'aurais pas tuer pour absoluement rien, il avait même une raison... ces trois hommes, par leur pauvretée avaient pris l'homme pour un riche ou quelque chose du genre. Esperant l'arracher de toute son argent, sois-dit-en-passant quasi-inexistant, ils avaient sautés sur lui pour lui avec une violence digne de l'humanitée... Ce qu'ils ne savaient pas c'était que l'homme était armé et apte a leur redonner cette violence multipliée par vingt-six.

Un rire sadique mais tout de même léger se fit entendre dans l'airambiante, alors qu'ils essuyait ses lames avec un chiffon qu'il trainait toujours dans sa poche. Sa capuche restant sur ses épaules laissant ses cheveux blonds tomber jusque sur sa nuque... Sa quête devait passer avant tout mais pourquoi ne pas s'amuser un peu avant? C'était après tout Naggaroth, la grande, la ténébreuse, la corompue. La ville rèvée de n'importe quel personnage ayant les mêmes desseins que lui... Un repère pour tout ce qui était mal dans se monde, ou le mal battais le mal pour une place au sommet.

Il se retourna pour commencer sa marche. Il contourna plusieur ruelles rapidement, entendant au loin des cris de terreur laissés par des passants ayant trouvés les trois cadavres. Il ne se retournerait plus de tout son voyage qui dura une trentaine de minute, de ruelles en ruelles, ou il s'arrêta enfin devant un établissement qui ressemblait a un auberge... Un endroit parfait ou passer un peu de temps.

HRP : Ici la couleur bleue fait référence à un flash back

La bête s'apprétait au festin lorsqu'elle entendit le bruit de marbre sur le sol. Ses yeux se posèrent sur la tablette et ses pupilles reptiliennes rétrécirent d'horreur et de surprise.

**Comment est-ce possible, pensa alors l'entité démoniaque. La tablette d'Il Immacolato, en la possession de cette gamine? Elle n'est même pas une ecclésiastique. NON!! L'OPRESSION REVIENT! PAS ENCORE!!!

Il y a de cela 600 ans, bien loin de Nagaroth, dans un petit village désertique éloigné de toute civilisation et aux rites religieux très prononcés baptisé Il Dolmen, avait vécu la famille Bascari, réunissant le père de famille Gerardo, ses 3 filles Fabiola, Benedictine et Vezisia et ses deux fils Carsifie et Guiermo. Carsifie âgé de neuf ans fut un jour embarqué par sa soeur adolescente Vezisia dans un rite macabre avec des amis à elle destiné à a;user leur esprit marginaux de futur adultes. Ils voulaient invoquer un démon du 8ème cercle de l'enfer cachés des clercs et de leur parents. Ils leur fallait un hôte pour accueillir l'esprit d'Haborym il carne laceratore, et c'est alors que Vezisia avait proposé l'âme pure de son petit frère.
Il ne s'agissait évidemment que d'un jeu d'adolescent en quête d'identité et qui par esprit de contradiction épousait sans réelle conviction les valeurs des ennemis de Dieu. Cela constituait plus pour eux un rejet de l'autorité parentale et communautaire. La jeune fille, comme la plupart de ses camarades ne croyait en aucun cas en la réussite d'une telle invocation et envisageait l'idée d'utiliser son frère comme cobaye comme un moyen de lui faire peur et de lui montrer à quel point elle s'était éloignée du "droit chemin" (elle aimait beaucoup savoir que les gens la voient comme une fille ténébreuse et rebelle).
Pendant le rituel rien de remarquable ne se produisit, les nécromanciens improvisés, encougalés dans de longues toges noires ornées chacune d'un baphomet (figure satanique où le visage du démon baphomet apparait au sein du pentagramme), se contentaient de psalmodier leur versets sataniques en effectuant des mouvement grandiloquents.
Terrorisés par la vue de cette réunion qui aurait pu faire rire d'autres, Carsifie ne put dormir. En réalité, sa soeur s'inquiéta vite de son état. Il semblait isolé du monde : pour peu qu'il regarde quelqu'un dans les yeux, il semblait se perdre dans une confusion propre à l'inconscience, et au bout de quelques minutes, ses yeux se teintaient d'un lueur étrange et mystique qui semblait à la fois envoutante et d'une rare violence.
Puis 5 jours après l'invocation, Carsifie disparut.
Ce fut Benedictine qui le retrouva 3 semaines plus tard dans un poulailler voisin : autour de lui gisait les cadavres d'une dizaine de poules, et l'enfant était penché sur le chien de garde agonisant, dévorant avidement ses entrailles.
On ligota Carsifie de chaînes et on l'enferma dans la cave de la maison Bascari. Les ecclésiastiques se penchèrent alors sur son cas. Identifier le démon ne fut pas difficile : les adolescents ne soutinrent pas la question, ils délivrèrent l'histoire chacun à leur tour. Ils furent tous condamnés à mort pour pacte avec Lucifer et ses suppots.
Le prêtre Salvatore apporta le remède à l'enfant à travers une tablette de marbre ramenée de son pélerinage de la terre sacrée. Il y fut inscrit les 24 différents noms du Nemesis, parmi eux les plus connus : Haborym, Katilou El Jahanam, Ruber Oculi, Faradiel, Breon....
C'est cette relique, la tablette D'Il Immacolato, trempée dans le sang des nombreuses victimes de Carsifie qui libéra l'enfant Bascari après une souffrance inimaginable pour un epsrit humain.

On enterra tous les pactisans à la cause sataniques le même jour. La famille Bascari était au complet pour honorer sans aucun ressentiment la tombe de Vezisia... excepté Carsifie. Après que les gens venus pleurer leur proche soient repartis, après que le cimetière aie été laissé désert, une silhouette d'enfant sorti de derrière un arbre et alla se poster devant la tombe de sa soeur.
Il cracha sur la stelle avant de tourner les talons et de disparaître dans la brume.


L'homme lézard hurla à la mort. Son corps, tordu de douleur ne lui répondait plus. Il essaya de se saisir de l'artefact, mais ses griffes se refermèrent sur une fournaise : Sa main resta collée à la tablette pendant quelques secondes avant de retomber sur le sol.
Le corps de Grisvald était sujet maintenant à de violentes convulsions en essayant de résister à la force de l'objet et Haborym était nauséeux. Le moment suivant l'abomination s'était levée tant bien que mal de ses jambes flageolantes et vomissait un mélange de bile et de restes mal digérés.
N'en pouvant plus Haborym rampa vers la beauté effarouchée et d'une voix rauque, hésitante et presque inintelligible il murmura avec difficulté

Tu...tu... as ga...gné. Je deviens tien. Que cet objet il montra péniblement la plaque de marbre de son doigt crochu et sale
...soit le gage de ma soumission. Toi, possesseuse D'Il Immaculato sera ma maîtresse, et moi démon du 8ème cercle, spolieur d'âmes et d'existences, Haborym comme certains m'appellents, serais ton esclave